Les hommes n’attirent pas ce qu’ils veulent mais ce qu’ils sont.
L’homme s’enchaîne lui-même : les pensées et les actions sont les geôliers de
son destin, l’homme n’a pas ce qu’il souhaite et désire, il n’a que ce qu’il
mérite.
Les hommes veulent tous améliorer les circonstances qui les
entourent, mais sont réticents à s’améliorer eux même ; ils sont donc liés.
On s’imagine que l’on peut tenir nos pensées secrètes, mais cela est
faux ; nos pensées se cristallisent rapidement en habitudes, et l’habitude se
solidifie en circonstance.
La maladie et la santé, tout comme les circonstances ont leurs
racines dans notre esprit. Le corps est un instrument plastique délicat, qui
répond facilement aux pensées ; les habitudes laissent leurs traces, bonnes ou
mauvaises.
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