dimanche 5 octobre 2014

L'homme est le reflet de ses pensées (2)

L’homme peut veiller au jardin de son esprit, écartant les pensées mauvaises, inutiles  et  impures, amenant lentement à la perfection les fleurs et les fruits de pensées justes, utiles et pures.
L’homme ne se sent accablé par les circonstances que s’il croit qu’il ne peut rien  contre les influences extérieures ; mais lorsqu’il se rend compte que lui-même est une puissance créatrice et qu’il peut contrôler le sol et les graines cachées au plus profond de lui-même, à partir desquels se développent les circonstances, Il devient alors  un maître intelligent.L’âme attire ce qu’elle héberge en secret, c'est-à-dire ce qu’elle aime mais aussi ce qu’elle craint.
Ce ne sont pas les circonstances  qui font un homme ; elles lui permettent uniquement de se découvrir à lui-même.
Les hommes n’attirent pas ce qu’ils veulent mais ce qu’ils sont. L’homme s’enchaîne lui-même : les pensées et les actions sont les geôliers de son destin, l’homme n’a pas ce qu’il souhaite et désire, il n’a que ce qu’il mérite.
Les hommes veulent tous améliorer les circonstances qui les entourent, mais sont réticents à s’améliorer eux même ; ils sont donc liés.
On s’imagine que l’on peut tenir nos pensées secrètes, mais cela est faux ; nos pensées se cristallisent rapidement en habitudes, et l’habitude se solidifie en circonstance.
La maladie et la santé, tout comme les circonstances ont leurs racines dans notre esprit. Le corps est un instrument plastique délicat, qui répond facilement aux pensées ; les habitudes laissent leurs traces, bonnes ou mauvaises.


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